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Localisation de logiciels

Livre blanc.

Questions relatives à un meilleur retour des investissements.

Lorsque vous aurez développé la version anglaise de votre logiciel il est tout à fait normal d’allonger le cycle de vie de votre produit en le localisant. Pour ce faire il faut adapter le logiciel aux exigences linguistiques, culturelles, juridiques et techniques des marchés ciblés. Bien qu’il soit parfaitement clair pourquoi il faut procéder à la localisation de votre logiciel il n’est pas toujours aisé de prendre les décisions qui s’imposent pour trouver la bonne solution du problème.

Qu’est-ce qu’il faut faire pour empêcher l’explosion des coûts ? Qu’est-ce que nous devons décider si le fournisseur de la traduction n’est point en mesure de respecter les échéances fixées ?

Si vous trouvez le temps d’analyser la situation au préalable vous pouvez éviter de payer cher la solution des problèmes liés à la date de réalisation prévue.

Faites une comparaison de vos aptitudes (y compris l’accès à des experts libéraux, les ressources propres et les sociétés de localisation) en fonction des critères suivants :

1. Méthodologie : est-ce que vous maîtrisez les procédures appropriées pour identifier et éliminer les risques et les vices dès le début du process ?

Еn formulant une question sur le process utilisé vous arriverez à comprendre quelle attention sera attribuée à votre projet. Est-ce qu’il y aura suffisamment d’investissements alloués à la recherche d’experts et à leur formation ? En identifiant ce segment du process vous aurez la certitude d’avoir trouvé des traducteurs susceptibles de bien appréhender votre ligne de produit. Il faut comprendre s’ils sont en mesure d’effectuer des révisions à des intervalles réguliers. Si la réponse est positive votre projet aura plus de chances d’aboutir dans les temps prévus, conformément au budget alloué.

2. Le cadre : Est-ce que le fournisseur de la traduction sera proactif, est-ce qu’il sera capable d’identifier les risques et les problèmes, sera-t-il en mesure de proposer des solutions ?

Le partenaire solide sera à même d’apporter son aide aux développeurs aux plus fins niveaux d’internationalisation et de localisation. De ce fait il vous épargnera des déconvenues ruineuses. De plus un partenaire solide sera en mesure d’identifier les nouvelles décisions qui peuvent réduire considérablement le niveau des erreurs et des coûts. Quand on n’arrive pas à comprendre si le logiciel en question aura la capacité de loger toutes les langues nécessaires et quelles modifications il faudra apporter au niveau des symboles uniques, alors les amendements qu’il faudra faire à une étape ultérieure coûteront bien plus cher. Il est très important de savoir dès le début ce que les ingénieurs de la localisation seront en mesure de faire pour que le logiciel soit indépendant de toute langue/codification des symboles des ressources communes/.

3.L’expérience acquise : est-ce que votre industrie, vos besoins linguistiques et techniques sont connus ?

Lorsque vous êtes à la recherche d’un traducteur il vaudrait mieux vous approprier quelqu’un qui réside sur le marché ciblé. De cette façon il aura accès à vos publications locales sur l’industrie et sur les organisations. Il sera même en mesure de vous fournir en retour des informations précieuses sur l’environnement concurrentiel au sein de votre marché ciblé. On pourrait dire en plus qu’un projet de localisation réussi englobe aussi leur expérience personnelle issue du testage des applications dans des pays tiers. Tâchez de choisir un partenaire qui a l’expérience de terrain et qui maîtrise un large éventail d’exigences systémiques, telles :

  • Windows Platforms (MSDN Subscriber)
  • AIX, HP-UX, Solaris, Linux
  • Apache, IIS, WebLogic, WebSphere, Tomcat
  • Oracle, SQL Server, MySQL

4.Le contrôle qualité : comment avoir la certitude que vous aurez la meilleure qualité pour votre projet ?

Tout un chacun peut dire qu’il fait bien son travail. Mais s’il est avare en informations complémentaires comment savoir s’il est vraiment capable de faire ce qu’il annonce ? Il faut savoir si la société désignera un gestionnaire du projet dès le début jusqu’à la fin du processus. Ensuite il faut connaître les procédures concrètes pour le suivi de la qualité. Si vous recevez périodiquement des comptes-rendus sur l’avancement du projet vous aurez la certitude que les défauts et les vices auront été identifiés et éliminés avant la date de la réalisation finale.